Il va falloir rendre des comptes

Tout a commencé avec des masques, en quantité insuffisante, dont les dates de péremption ont été dépassées, puis des cliniques privées, avec une présence discrète pendant cette crise sanitaire, enfin avec un vaccin hors de notre portée. Le bilan national frise le ridicule, la honte mais surtout la colère.

Pas de profit sur la pandémie

Vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne et notamment ses articles 114, 118 et 168, nous demandons à la Commission de proposer une législation pour:
– veiller à ce que les droits de propriété intellectuelle, brevets compris, n’entravent pas l’accessibilité ou la disponibilité de tout vaccin ou traitement futur contre la COVID-19;
– garantir que la législation de l’UE relative à l’exclusivité des données et à l’exclusivité commerciale ne limite pas l’efficacité immédiate des licences obligatoires délivrées par les États membres;

Une démocratie sans culture est une démocratie sans vie

L’Observatoire de la liberté de création soutient la demande d’ouverture des lieux de culture dans le respect des gestes barrières.
Le public a le droit de participer à la vie culturelle. Ce droit est essentiel. Il est affirmé par l’article 27 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme (DUDH). Les artistes ont le droit de créer et de diffuser leurs œuvres. Ce droit est essentiel. Il est protégé par la loi de juillet 2016.

Commandez le livre En finir avec les idées fausses sur les migrations 

60 idées fausses sur les migrations décryptées et déconstruites, pour sortir des discours qui laissent croire qu’une politique d’accueil est impossible.« Il y a de plus en plus de migrants », « Migrer, c’est une affaire d’hommes », « Les migrants sont pour la plupart des personnes pauvres », « L’Union européenne force les États membres à accueillir des migrants », « Beaucoup d’étrangers sont des fraudeurs », « Les migrants islamisent la France et menacent la laïcité »….Les discours d’inquiétude et de crispation, voire de rejet, à l’égard des migrants, réfugiés, exilés et étrangers, occupent une large partie de l’espace médiatique, et cela sera certainement encore davantage le cas avec les campagnes électorales à venir

PRINTEMPS DES LIBERTES #3 – Marche Vérité et Justice

Après avoir tenté d’interdire notre rassemblement de samedi dernier puis voulu le déplacer sur la place Jean Macé, histoire de invisibiliser, et enfin avoir tenté de le rendre muet en empêchant toute expression musicale revendicative à Bellecour, après avoir purement et simplement pris un arrêté interdisant la marche déclarée ce mardi 16 mars entre le palais de justice et la préfecture,

Rassemblement Printemps des Libertés le 13 mars à Bellecour

La loi « séparatisme », il est clair pour nous qu’elle saborde la liberté associative.
Ce texte ne vise pas que les activités potentiellement terroristes : tout un chapitre s’intéresse aux libertés associatives. Le nouveau texte liberticide ne concerne pas seulement les associations cultuelles, mais constitue une menace très grave pour l’ensemble des associations françaises ».

LA PRÉFECTURE INTERDIT AU SYNDICAT SOLIDAIRES DE MENER CAMPAGNE ÉLECTORALE

L’union syndicale SOLIDAIRES, dans le cadre de la campagne électorale
TPE/TPA, avait le 5 mars 2021 déposé à la préfecture une déclaration de table
de presse avec 5 militant·es place de la République à Lyon afin de mener
campagne pour nos candidat·es les samedi 13,20, et 27 mars 2021
Le 11 mars l’interdiction de cette table de presse est tombée par mail de la
préfecture.

L’Etat coupe Le Son du Peuple

Peut-on librement revendiquer aujourd’hui à Lyon ? La réponse est non. Le rassemblement contre les lois liberticides prévu ce samedi 13 mars à 14 heures place Bellecour dans le cadre du Printemps des Libertés aura bien lieu mais il sera amputé sur injonctions de la préfecture. Retour en quatre actes sur cette censure.